dimanche 7 novembre 2010

Le CO2 est le nouveau Satan scientifique





Vers 1974, je me rappelle très bien, les scientifiques de l’époque, ayant constaté une baisse des températures pendant une trentaine d’années, avaient annoncé au monde entier que la terre allait bientôt entrer dans une nouvelle ère glacière. Et puis, après que nous avions acheté ce qu’il fallait pour nous chauffer en anticipant des hivers de plus en plus froids, les hommes de science ont cru déceler un réchauffement entre 1975 et 2003. La panique! Le chauffage que nous avions tous acheté a contribué à un effet de serre en jetant trop de CO2 dans l’atmosphère.

En fait, si je me rappelle correctement c’était les gaz chlorofluocarbures (CFC) utilisés dans les frigos qui allait d’abord être responsable de l’apocalypse climatique, si on les envoyait à la décharge publique à la fin de leur vie sans traitement préalable. Illico tout le monde s’intéressait à ses fameux gaz à effet de serre, comme si l’avenir de l’humanité en dépendait. Il y avait le méthane émis par les vaches qui pétaient, et d’autres gaz nocifs des industries nécessaires pour notre économie qui polluaient l’atmosphère. On n’avait pas le choix. L’homme devait devenir végétarien et retourner dans les cavernes pour sa propre survie, et celle de la planète.

Sérieusement, de quoi s’agit-il vraiment? Commençons par examiner l’atmosphère terrestre d’une manière simple. 800 km au dessus de nos têtes c’est l’exosphère. L’ionosphère est la haute atmosphère. Mais ce qui nous intéresse, c’est le thermosphère à 100 km au dessus du sol, suivie du mésosphère à 60 km, le stratosphère entre 20 et 40 km, et finalement le troposphère que nous respirons. Selon les scientifiques, ceci comprend 79,08% de Nitrogène, (le mot scientifique pour l’azote - N2) 20,95 % d’oxygène, (O2) 0,93 % d’argon, (Ar) et 0,039% de CO2. (Mesuré en parts par millions en volume, le CO2 = 386 ppmv.)

Avec l’aide de notre calculatrice nous verrons que tous les éléments nuisibles qui restent, (les CFC et le méthane etc.) ne sont que des traces si minuscules que ce n’est même pas la peine de les nommer. De surcroit, le seul gaz à effet de serre mentionné ci-dessus, le CO2, ne comprends qu’un tiers d’un pour cent de la totalité de notre air sec respirable. J’ai dit air sec, parce qu’il ne faut pas oublier la présence d’hydrogène (0,55 ppmv) et la vapeur d’eau (de <1% à ~4% qui est très variable, et dont l’effet sur le réchauffement serait négligeable.)

Regardons maintenant ce qu’on appelle le cycle du CO2 qui est crucial pour la vie végétale de cette planète. Lors de sa croissance les plantes captent du CO2 dans l’atmosphère, et s’en servent pour grandir grâce à un processus nommé photosynthèse. S’il y a combustion, le CO2 est relâché dans l’atmosphère, ou il sera recapté dans une courte période par d’autres plantes. Cependant les plantes qui ont poussés pendant des ères géologique, et qui n’ont pas cramées, n’ont pas dégagé leur CO2. Le gaz est stocké sous forme de charbon, pétrole, et gaz naturel. Ce qui veut dire, selon certain scientifiques, qui si on brule tout ça, relâchant des milliards d’années de CO2 durant une courte période, il y désynchronisation des cycles de captage et de restitution que l’atmosphère ne peut pas gérer.

Tout ceci paraît très raisonnable, avant de se rappeler que la quantité de CO2 dans l’air n’est que 1/3 de 1%. Et on se pose la question suivante: comment est ce possible qu’un élément si petit par rapport à la totalité de l’atmosphère terrestre peut être responsable pour le réchauffement de ce dernier? Après tout, malgré les pics de pollution autour des zones habitées par les humains, (5 % de la surface terrestre) les gaz toxiques sont sont vite dispersés par les vents et répandus dans l’immensité du troposphère, ou même du stratosphère, ou leur nocivité devient négligeable.

Pour voir plus clair, examinons maintenant l’histoire climatologique de notre planète, telle que nous la connaissons.



Voici les variations de température entre le début de notre ère et l’an 2000. On voit clairement qu’entre 600 et 1200 environs les températures étaient plus élevées que maintenant. On voit également ce qu’on appelle la petite ère glacière entre 1400 et 1800 environs. Quoique l’on brulât beaucoup de bois les populations au moyen age étaient beaucoup moins nombreuses, et il n’y avait pas d’usines dont les polluants chauffait l’atmosphère.

Maintenant écoutons les géologues américains, dont le travail couvrent une période beaucoup plus préhistorique. Une étude des fossiles de feuilles dans un lac de la période Holocène il y a 9400 ans démontre que le CO2 atmosphérique était 333 ppmv, et il y a 9600 ans c’était 348 ppmv. (il est maintenant 386 ppmv) Pour certain scientifiques les carottes de glace donne des résultats qui ne sont pas très fiables, mais un prélèvement de l’an 1890 révèle 328 ppmv (pas les 290 ppmv pour étayer les théories de réchauffement.) Personnellement, je ne vois pas de raison de s’inquiéter, étant donné que l’augmentation de CO2 atmosphérique depuis 10,000 ans est aussi faible.

Pour les géologues il n’y a pas de preuve détectable de l’influence humaine sur le climat. Le climat change continuellement à cause des processus naturels. La variabilité climatique naturel est plus grande à travers les ères géologiques que les estimations raisonnables de changement climatique du aux activités humaines. Car il n’existe pas d’outil pour pouvoir juger correctement la différence entre l’action de l’homme et les processus naturels.

Les périodes interglaciaires étaient plus chaud qu’aujourd’hui, et il semblerait que durant les dernières 65 millions d’années la température a baissé. Quoique le taux de CO2 ait un peu augmenté, il n’y a pas eu de vrai réchauffement depuis 1998. Et la possibilité que nous sommes à deux mille ans du début d’une nouvelle ère glacière n’est pas à exclure. Car la découverte que la terre tourne un peu comme une toupie, (le mouvement de rotation de l’axe appelé ‘précession des équinoxes,’ dont une oscillation dure 25,000 ans,) suggère qu’il y a des longue périodes où le pôle nord est plus éloignée du soleil et vice versa. N’oublions pas également que l’élément déterminant pour notre climat soit notre astre, qui a lui même des cycles d’activité plus ou moins fort.

Ainsi les rapports de l’IPPC (Panneau intergouvernemental sur le réchauffement climatique,) seraient faux. Et comme l’échec de Copenhague le prouve, au moins quelques dirigeants de ce monde ne sont pas dupes. Il n’y a aucune évidence empirique qui prouve que le CO2 chauffe le climat. Malheureusement, il y a deux type de scientifiques: ceux qui cherche la vérité, et ceux qui doivent suivre la voie du politiquement correcte pour garder leur bourse. Pour ces derniers le fric est plus important que la vérité. On pense à Galilée devant l’inquisition, et on se rend compte que le réchauffement climatique est devenu une religion pour ces scientifique de pacotille, qui ne cessent de se tromper en permanence, et pour qui le CO2 est comme Satan dans la Bible.

Néanmoins, une chose est certaine. Si on abattait tous les arbres de la planète, la terre se transformerait en désert. Avec les cyanobactéries des océans, les arbres nous fournissent de l’oxygène. Mais plus important encore est la transpiration, (évaporation d’eau de leur feuilles pendant absorption de CO2 pendant la photosynthèse) qui joue sur le climat local. S’il n’y a presque plus de neige sur le Kilimandjaro, ce n’est pas à cause du réchauffement climatique. C’est le fait qu’ils ont abattu une grande partie des arbres qui entouraient la montagne.

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